Ottawa, le 20 novembre 2015 –
L’Assemblée de la francophonie de l’Ontario (L’Assemblée), le
Regroupement étudiant franco-ontarien (RÉFO) et la Fédération de la
jeunesse franco-ontarienne (FESFO) se réjouissent du consensus politique
qui semble se former parmi les député.e.s à Queen’s Park à l’égard du
projet de création d’une nouvelle université franco-ontarienne. Hier, le
Projet de loi 104 : Loi constituant l’Université de l’Ontario français
a été approuvé unanimement par l’Assemblée législative de l’Ontario en
deuxième lecture et procède maintenant à l’étape de l’étude au sein du
Comité permanent de la politique sociale. Les trois organismes vont
suivre avec attention les discussions en comité et souhaitent que les
député.e.s provinciaux permettent au projet de loi de passer rapidement
en 3e lecture pour ensuite être adopté.
« Nous sommes heureux de constater l’appui des trois partis au projet d’une nouvelle université franco-ontarienne, une priorité du nouveau Plan stratégique communautaire de l’Ontario français. Ce vote positif à la législature est une autre étape franchie envers l’aboutissement de ce grand projet. L’Assemblée souhaite que les législateurs et législatrices procèdent de manière expéditive pour en arriver à l’adoption du projet de loi en 3e lecture, l’étape définitive pour que ce projet voit le jour. La communauté attend depuis deux générations cette institution qui sera la leur, comme le sont les collèges La Cité et Boréal, l’Université de Hearst, et les conseils scolaires de langue française », a déclaré Denis Vaillancourt, président de L’Assemblée.
« Nous sommes heureux de constater l’appui des trois partis au projet d’une nouvelle université franco-ontarienne, une priorité du nouveau Plan stratégique communautaire de l’Ontario français. Ce vote positif à la législature est une autre étape franchie envers l’aboutissement de ce grand projet. L’Assemblée souhaite que les législateurs et législatrices procèdent de manière expéditive pour en arriver à l’adoption du projet de loi en 3e lecture, l’étape définitive pour que ce projet voit le jour. La communauté attend depuis deux générations cette institution qui sera la leur, comme le sont les collèges La Cité et Boréal, l’Université de Hearst, et les conseils scolaires de langue française », a déclaré Denis Vaillancourt, président de L’Assemblée.
« Nous
remercions les trois partis de s’être positionnés en faveur de la mise
sur pied d'une nouvelle université gérée par et pour les francophones.
Nous avons raison de célébrer ce nouveau jalon, mais il est important
que la communauté demeure vigilante et continue à engager leurs
député.e.s, peu importe leur parti, dans cette importante
conversation », a partagé Geneviève Borris, coprésidente du RÉFO. Elle
ajoute que « malgré les succès de la journée d’hier, nous attendons que
le gouvernement aille encore plus loin qu'un appui de principe et
partage, d'ici le début de l'hiver, ses échéanciers pour la nomination
d'un conseil des gouverneurs de transition, qui pourra mettre sur pied
cette université d'ici 2018. »
Le président de la FESFO, Jérémie J. Spadafora, souligne pour sa part l’urgence d’agir pour que les élèves du secondaire franco-ontarien aient de réelles options pour la poursuite de leurs études postsecondaires en français. « Un trop grand nombre d’élèves francophones n’ont toujours pas un accès adéquat à des programmes universitaires dans leur langue et dans leur région. Je célèbre aujourd’hui un pas important pour la jeunesse franco-ontarienne. Je représente des jeunes de la 9e à la 12e année et il est impératif que la majorité d’entre eux et elles aient l’option d’étudier dans la nouvelle université franco-ontarienne lorsque viendra leur graduation », a affirmé le président de la FESFO.
L’engouement qui entoure le projet de création d’une nouvelle université franco-ontarienne continue à grandir et les appuis de citoyen.ne.s, d’organismes, d’institutions et de leaders se multiplient de jour en jour. Les trois organismes partenaires souhaitent remercier la communauté franco-ontarienne pour sa mobilisation en faveur du mouvement et invitent la population à continuer à manifester publiquement son appui pour ce projet essentiel pour l’avenir de l’Ontario français.
Le président de la FESFO, Jérémie J. Spadafora, souligne pour sa part l’urgence d’agir pour que les élèves du secondaire franco-ontarien aient de réelles options pour la poursuite de leurs études postsecondaires en français. « Un trop grand nombre d’élèves francophones n’ont toujours pas un accès adéquat à des programmes universitaires dans leur langue et dans leur région. Je célèbre aujourd’hui un pas important pour la jeunesse franco-ontarienne. Je représente des jeunes de la 9e à la 12e année et il est impératif que la majorité d’entre eux et elles aient l’option d’étudier dans la nouvelle université franco-ontarienne lorsque viendra leur graduation », a affirmé le président de la FESFO.
L’engouement qui entoure le projet de création d’une nouvelle université franco-ontarienne continue à grandir et les appuis de citoyen.ne.s, d’organismes, d’institutions et de leaders se multiplient de jour en jour. Les trois organismes partenaires souhaitent remercier la communauté franco-ontarienne pour sa mobilisation en faveur du mouvement et invitent la population à continuer à manifester publiquement son appui pour ce projet essentiel pour l’avenir de l’Ontario français.
- 30 -
No comments:
Post a Comment